Fallout: le Jeu de Rôle

Les États-Unis d’Amérique ne sont plus qu'un souvenir. Ils ont été anéantis lorsque les têtes nucléaires du monde entier ont été lancées. L’apocalypse qui a suivi a mis fin à la Grande Guerre, mais également à la civilisation, désormais remplacée par les Terres désolées. Ce paysage irradié est parsemé de cités en ruines, de sociétés en déclin et de poches de survivants désespérés, aux prises avec une variété de créatures mutantes, de bêtes horribles et de goules immortelles. Tout ce qui n’a pas été tué sur le champ a été irradié et la majeure partie de la faune et de la flore a été anéantie.

Les survivants s’échinent à récupérer ce qu’ils peuvent et à sauver ce qu’ils ne peuvent pas reconstruire. La civilisation commence à reprendre racine et certaines zones du pays ont atteint un niveau de stabilité que d’aucuns qualifieraient de confortable, du moins pour les riches et les puissants.

Avec le développement de ces communautés, des factions disparates ont commencé à émerger. Chacune d’entre elles cherche sa propre voie, certaines s’avérant bien plus périlleuses que d’autres. Les pillards sont de loin les plus redoutables : la seule vie qui compte à leurs yeux est la leur. Pourtant, la civilisation commence à prospérer malgré ces difficultés. Le commerce et l’économie ont repris dans certaines zones des Terres désolées qui voient également renaître un semblant de gouvernement. Chaque communauté adapte son propre système gouvernemental en fonction de ses besoins. Des marchands empruntent des routes protégées et font affaire dans les cités qu’ils atteignent, utilisant une nouvelle monnaie sous la forme de capsules de bouteille, appelées « capsules ».

La vie dans les Terres désolées est difficile. Le soleil cogne fort et les radiations sont intenses. L’eau pure et la nourriture sont rares, et la plupart des survivants ont dû s’adapter à l’eau sale et à des vivres irradiés. Survivre seul est difficile, mais vivre en communauté présente également de nombreux défis.